Wednesday, May 4, 2011

Updated Schedule For Thomas Meyer's 2011 Visit

Edmonton:
13 September: Open House at Theosophical Branch
14 September: Talk at the  Theosophiocal Branch on D N Dunlop and Memories of Rudolf Steiner's early days at the Theosophical Society
Contact: Ernest Pelletier (780-436-6203)


Calgary
15 September.  Talk on Biography Reincarnation and Meditation
Contact: Christine (403-217-9514)

Vancouver
16 September.  Talk at the Rudolf Steiner Centre on The Challenges Facing the Anthroposophical Movement in the Coming Times
17 September.  Talk at the Rudolf Steiner Centre Biography, Reincarnation and Meditation
18 September.   Talk at the Christian Community on Biography, Reincarnation, and Meditation. 
Contact: Ann Watson (250-653-4184)


Vancouver Island
21 September.  Talk in the evening at Sunrise Waldorf School on Biography, Reincarnation, and Meditation.
Contact: Ann Watson (250-653-4184)


USA23-24 September, Portland.  Contact James Lee (503-249-3804)
28 September - 2 October, Sacramento. Contact Rudolf Steiner College

Impressions de l’Assemblée générale à Dornach : 16 avril 2011

- Agnes and Herb Schneeberg, London ON

Quand nous avons appris en février que, lors de l’Assemblée générale annuelle de la Société anthroposophique à Dornach, on allait présenter une motion visant à expulser le Comité au Goetheanum en bloc, nous étions en état de choc.  Comme le résultat de ce vote risquait de compromettre l’avenir de toute la Société anthroposophique, nous avons décidé après un long examen de conscience, et sans savoir à quoi nous attendre, de nous rendre à Dornach pour participer à cette réunion importante.  Notre seule certitude : bien des choses dépendraient du nombre de membres qui s’y présenteraient.  

Nous arrivons une journée à l’avance pour nous orienter et pour apprendre tout ce que nous pouvons au sujet des problèmes et des procédures.  Il devient apparent que même les gens les mieux placés n’ont aucune idée de combien de personnes se présenteront ni de comment elles voteront.  Cette incertitude intensifie la tension et l’appréhension que nous ressentions déjà.  Le jour même, à 8h, nous montons la colline à pied jusqu’au Goetheanum (l’assemblée commencera à 9h) pour faire la queue devant l’entrée.  

Il devient vite évident que beaucoup de membres ont fait le voyage jusqu’à Dornach, venant de près et de loin.  Dans la Grande Salle toutes les places sont rapidement prises, et la foule qui déborde est accueillie dans la Salle de la Pierre de Fondation où on avait installé un grand écran vidéo (en tout, approximativement 1300 participants).

Après un bref morceau de musique (piano), Paul Mackay prend la parole pour ouvrir l’assemblée et pour expliquer les règles de procédure : une simple majorité emportera le vote et on ne fera un compte exact des mains levées que dans le cas d’un vote serré.  Celui ou celle qui veut parler peut remettre un carton à l’animateur ou simplement faire la queue.  On accordera quelques minutes à chaque intervenant, et une clochette sonnera pour indiquer que son temps est écoulé.  Il y aura de l’interprétation simultanée en anglais, en français et en italien.

Sur la scène : un pupitre à l’intention des intervenants;  à droite, une table où sont assis les 6 membres du Comité Exécutif (CE);  à gauche, une table où sont installées les deux personnes qui sont responsables du lien téléphonique avec la Salle de la Pierre de Fondation, du décompte des votes, et du contrôle des règles de procédure.

D’abord, trois membres du CE nous adressent la parole.  Sergei Prokofieff affirme qu’au cours des dix dernières années, le CE est devenu une véritable équipe qui plus que jamais représente la Société mondiale.  Ses membres travaillent bien ensemble.  « Nous avons commis des erreurs, mais nous voulons favoriser le bien-être de la Société et ferons un effort pour être plus ouverts à ce qui vient à nous…. Et nous chercherons à trouver des moyens pour faire face aux récriminations que nous reconnaissons comme justifiées. »  Bodo von Plato mentionne que le CE a l’obligation de remplir la tâche que lui a confiée Rudolf Steiner : nourrir la vie de l’âme chez l’individu et dans la Société anthroposophique grâce à la connaissance du monde de l’esprit.  Paul Mackay décrit les décisions difficiles qui ont dû être prises au cours de l’année 2010.  Il a fallu couper 2.8 millions de francs suisses du budget; on a dû congédier 22 collaborateurs et le CE ne sait pas encore si ces mesures seront suffisantes.  « Nous devons travailler ensemble avec les collaborateurs, les Secrétaires généraux et les représentants des différents pays; nous ne pouvons pas faire ce travail tout seuls. »

Nous en arrivons alors aux motions elles-mêmes.  Au début de chaque motion, des participants font la queue pour prendre la parole (souvent plus de gens qu’on ne soit en mesure d’entendre) pour donner leurs interprétations personnelles.   Le déroulement semble en tout relativement calme et respectueux, mais l’ambiance qui sous-tend l’assemblée est imbue de tensions et d’émotivité.  Les intervenants expriment une gamme impressionnante et complexe de points de vue divergents.  
Suite à une entente préalables entre le CE et le cercle des Secrétaires généraux, il est proposé que l’assemblée commence avec la motion #2 (la plus cruciale, celle traitant d’un vote de non-confiance à l’égard du CE), car il faut de toute évidence qu’elle soit réglée en premier lieu.  La motion #1 suivra (le mandat de 7 années pour les membres du CE).  La proposition est adoptée par la majorité, moyennant un vote à main levée.  On se penche donc sur la motion #2.  Une douzaine de participants au moins veulent se faire entendre.  Nous faisons un effort pour écouter aussi objectivement que possible les diverses préoccupations exprimées.  Lors de la rencontre du CE avec les Secrétaires généraux dans la semaine précédant l’AGA, on a décidé de ne pas s’objecter à ce que cette motion soit soumise à un vote secret, et cette procédure est alors acceptée par l’assemblée (vote à main levée).  Par conséquent, tous sont priés de cocher l’une des 3 options imprimées sur le bulletin de scrutin : 1) Confiance en le CE; 2) Abstention; 3) Non-confiance en le CE. Les bulletins de vote sont comptés durant l’heure du repas.

Au grand soulagement de la plupart des gens présents, il y a 876 voix en faveur du CE (votes de confiance), 257 contre, et 156 abstentions (en plus de 11 bulletins annulés).  Virginia Sease remercie l’assemblée : « Le CE travaillera très fort pour regagner la confiance de ceux qui ont voté contre nous. »

Nous tournons alors notre attention vers la motion #1 concernant le mandat de 7 ans et la confirmation de 3 membres du CE.  La motion est adoptée.  Virginia Sease mentionne combien les membres du CE travaillent bien ensemble malgré de profondes différences d’opinion; elle appuie personnellement les 3 collègues qui doivent être reconfirmés.  Tous remplissent les bulletins de scrutin portant les 3 noms avec des cases « oui » et « non » pour chacun des 3.  Les résultats : Sergei Prokofieff – oui 1015, non 210; Bodo von Plato – oui 815, non 384; Paul Mackay – oui 837, non 356.

Parmi les motions qui restent, la motion #4, celle qui demande la tenue d’une assemblée générale extraordinaire pour discuter de l’avenir de Weleda, suscite des interventions passionnées d’au moins une douzaine de médecins, de collaborateurs Weleda, et d’autres.  Au nombre des préoccupations figurent : la survie financière de Weleda, la disponibilité future des remèdes Weleda, la forte promotion des produits cosmétiques Weleda au détriment des médicaments, etc.  Nous entendons des avis divergents sur toutes ces questions.  La motion demandant une assemblée générale extraordinaire est adoptée par une majorité importante. (Note : la Société anthroposophique reste un des actionnaires importants de la compagnie Weleda).

Les autres motions à l’ordre du jour ou sont retirées ou ne reçoivent pas suffisamment d’appui pour être adoptées.

Finalement, puisque le tout a pris presque douze heures, nous entendons une version écourtée du rapport financier et l’on remercie chaleureusement Cornelius Pietzner, qui se retire du poste de trésorier pour se consacrer à son projet de levée de fonds pour le Goetheanum.  
Un sentiment de soulagement commence graduellement à nous habiter, mais ce n’est que le lendemain (dimanche des rameaux) que nous devenons conscients des forces de renouveau et d’espoir qui se manifestent autour de nous.  Nous nous rendons compte pour la première fois que nous avons passé toute la journée du samedi dans la Grande Salle du Goetheanum sans réellement apprécier sa beauté, et que nous n’avons pas non plus laissé pénétrer en nous la beauté de la nature bourgeonnante du paysage.  Mais, hier il s’est passé quelque chose d’important et nous sentons que, jusqu’à un certain point, un poids nous a été enlevé du cœur.  Nous sommes rassurés par le fait que le CE et les Secrétaires généraux chercheront activement des moyens pour permettre à tous les membres de participer aux décisions les plus importantes, évitant ainsi que nous ayons à vivre une situation analogue à l’avenir.  Nous avons également le sentiment que le CE se penchera avec le plus grand sérieux sur tous les problèmes soulevés durant l’AGA.  Et nous nous rendons compte que tous les individus, partout dans le monde, qui ont accompagné ces évènements avec leurs bonnes pensées ont aidé, eux aussi, à ce que ce processus connaisse une issue positive.

Suivant une conférence remarquable de Sergei Prokofieff dimanche matin, nous assistons au groupe de discussion en anglais animé par Virginia Sease et Cornelius Pietzner; nous étions presque 70 membres des différents pays de langue anglaise.  De retour dans la Grande Salle, on nous présente plusieurs nouveaux responsables de Section; nous sommes impressionnés par leur sincérité, leur honnêteté et leur vif désir de trouver de nouvelles façons d’aborder le travail dans leurs champs de compétence respectifs.  Et finalement, on remercie chaleureusement notre propre Philip Thatcher pour ses années de service comme Secrétaire général.  Philip nous fait rire avec des descriptions de ses expériences aux douanes en traversant plusieurs frontières, nous racontant les différentes réactions qu’il suscite en tentant d’expliquer « l’anthroposophie » aux agents.  

Le dernier évènement, une magnifique représentation d’eurythmie, produit sur nous un effet profondément spirituel et nous rappelle la véritable raison pour laquelle nous sommes tous ici.  Cette prestation artistique mérite des applaudissements enthousiastes et soutenus, et ainsi s’achève le congrès.  

Plus tard dans l’après-midi, toujours dans la Grande Salle, nous avons l’occasion d’entendre une présentation du Messie de Händel donnée par un ensemble baroque sur instruments d’époque, avec d’excellents solistes et une des plus belles chorales que nous ayons jamais eu l’occasion d’entendre. 

C’est une digne conclusion d’un voyage fertile en évènements.

Agnes et Herb Schneeberg, London, Ontario


Tuesday, May 3, 2011

Impressions from the AGM at the Goetheanum: April 16, 2011

- by Herb and Agnes Schneeberg (London, ON)

When, at the end of February of this year, we learned that a motion was going to be presented at the AGM of the Anthroposophical Society in Dornach to oust the whole Executive Council, we were shocked. As the outcome of this motion could potentially affect the future of the whole Anthroposophical Society, we decided, after some soul-searching, to travel to Dornach to be part of this important AGM, even though we did not know what to expect. But it was clear to us that a lot would depend on how many people were going to attend this AGM.

We arrive a day early in Dornach to orient ourselves and to learn as much as we can about the issues, procedures and expectations. It turns out that even the people 'on the inside' have no idea how many members will come or how they will vote. This uncertainty adds to the tension and apprehension we already feel. On the day itself we walk up to the Goetheanum well before 8:00 a. m. (the meeting will start at 9:00 a. m.) and line up to get inside.

Soon it becomes evident that indeed many members have made the trip to Dornach from far and near; the great hall fills to the last seat and the overflow crowd is accommodated in the Foundation Stone hall, where a large video screen has been set up (total estimate: around 1300 members). 

After a brief selection of piano music, Paul Mackay opens the meeting and explains the procedures. Simple majority counts and there will be an exact count of hands only when the results are close. If someone wants to speak, he or she can hand a slip to the moderator or simply line up. A few minutes are given to each speaker,  at which time a little bell will be heard to indicate that the time is up. Simultaneous translations will be given in English, French and Italian. 

On the stage is a speaker podium; on the right a table with the six members of the Executive Council, and on the left a table with the two people responsible for the phone connection to the Foundation Stone hall, for the counting of the votes, and for maintaining the legality of the procedures.
First we hear from three members of the Executive Council (EC). Sergei Prokofieff states that in the last ten years the present EC has become a real team which more than ever before represents the world society. They work well together. “We made mistakes, but want to help the well-being of the society and will try to be more open to what comes towards us” and “we will be looking at ways of dealing with those criticisms that are justified.” Bodo von Plato mentions that the EC has an obligation to fulfill the task it has been given by Rudolf Steiner, to nurture the soul-life both in the individual and in the Anthroposophical Society through knowledge of the spiritual world. Paul Mackay describes the difficult decisions that had to be made in 2010. The budget had to be cut by 2.8 million Swiss Francs; 22 co-workers had to be let go and the EC doesn't know yet whether these measures are sufficient: “We have to work with our co-workers, the General Secretaries and country representatives; we cannot do this alone.” 

Now we come to the actual motions. At the beginning of each motion people line up to speak — often more than can be accommodated — to give their personal interpretations. Although it seems on the whole a relatively civilized process, the undercurrent is tense and emotional and the speakers unquestionably bring an amazing complexity of viewpoints. 

Following earlier consultations between the EC and the General Secretaries, it is proposed to start the AGM with the crucial motion #2 (no confidence in the EC), as it clearly needs to be addressed first, followed by motion #1 (seven-year terms for EC members). This proposal is accepted by a majority of those present by a raising of hands. Therefore we now turn to Motion #2. At least a dozen speakers want to have their say. We try to listen objectively to a range of concerns. During the meetings of the EC and General Secretaries in the week leading up to April 16, it also has been decided not to contest the wish for a secret vote on this motion and a majority of members agrees to that decision by a raising of hands. So everyone is asked to check one of the following three options on their ballot: 1) Confidence in EC; 2) Abstention; 3) No confidence in EC. The ballots are counted during the lunch break.

To the relief of most people, there are 876 votes for confidence in the EC; 257 votes for no confidence and 156 abstentions (and 11 spoiled ballots). Virginia Sease thanks everybody: “the EC will work hard to earn the trust of those that voted against us.” 

We then turn to Motion #1, regarding seven-year terms and affirmation of three EC members. The motion is approved. Virginia Sease mentions how well this EC works together, despite profound differences of opinion; she personally supports the three colleagues who are to be reaffirmed. Everyone fills out a ballot with yes-or-no checks at the three names and the results are: Sergei Prokofieff 1015 yes, 210 no; Bodo von Plato 815 yes, 384 no; Paul Mackay 837 yes, 356 no. 

Of the remaining motions, it is Motion #4, the request for an Extraordinary General Meeting to discuss the future of Weleda, that brings impassioned responses from at least a dozen doctors, Weleda co-workers and others. There is concern about the financial survival of Weleda, future availability of Weleda medicines, promotion of the cosmetics over the medicines, etc. We hear differing opinions on all of these issues. The motion for an Extraordinary Meeting is accepted by a large majority (Note that the Anthroposophical Society remains a major shareholder in Weleda). 

The remaining motions are either withdrawn by their sponsors or receive not enough support to pass.
Finally, because this whole process has taken the better part of twelve hours, we hear a shortened version of the financial report and a warm thank-you is given to Cornelius Pietzner, who is stepping back from his treasurer's job to dedicate himself to fund raising efforts for the Goetheanum.


A sense of relief is growing in us, but it is not until the next day (Palm Sunday) that we feel the forces of renewal and hope around us. For the first time we realize that we have spent the whole Saturday in the great hall of the Goetheanum without really appreciating it, and that we have not fully taken in the beauty of the blossoming nature around us either. But something has been accomplished yesterday and we feel at least some weight lifted off our shoulders. We have been reassured that the EC and the General Secretaries will be looking into finding ways for all members to have a say in crucial decisions, so that hopefully we will not be faced with a similar situation in future years. We also have a sense that the EC will take a serious look at all the issues raised during the AGM. And we realize that the many people all over the world who have accompanied this important event with good thoughts have also helped bring this whole process to a good conclusion.

After an impressive talk on Sunday morning by Sergei Prokofieff, we attend the English discussion group led by Virginia Sease and Cornelius Pietzner, together with almost 70 other members from English speaking countries. Back in the great hall several new section leaders are introduced and we are impressed with their honesty, sincerity, and eagerness to look for new ways to approach their particular area of work. And finally our own Philip Thatcher gets thanked for his years as General Secretary and makes us all laugh with his description of his experiences at various border crossings, and the reactions he gets when trying to explain what Anthroposophy is to the customs officials.

The last event, a beautiful Eurythmy performance, has a profound spiritual effect on us, reminding us why we are all here in the first place. There is a sustained, enthusiastic applause of appreciation for this artistic contribution which closes the conference.

Later that afternoon, also in the great hall, we have the opportunity to hear Handel's Messiah by a baroque ensemble playing on period instruments, wonderful soloists, and one of the most beautiful choirs we have ever heard. A worthy ending to an eventful journey! 

Agnes and Herb Schneeberg, London, Ontario

Treasurers' Meeting at the Goetheanum: 18-19 April 2011

- by Douglas Wylie


This report is an overview of the meeting. For a much more in-depth report see the report from Hans Hasler. (See link in May eNews.)

Representatives from approximately 15 National Societies and groups met for the annual meeting of the Treasurers. This was a first-time meeting for me, and I felt very welcomed and had the pleasure to meet fellow Treasurers from around the world and take part in a very lively, productive and important meeting.

The main agenda item, of course, was the lack of funds to cover the programs at the Goetheanum. This difficulty, from my view, was the root of the challenging motions addressed at the AGM this year.

At the Treasurer’s meeting, we reviewed the Financial Statements and Budgets in detail and had discussions and questions around the challenges. We spent some focused time reviewing a chart showing countries and groups with their associated contributions. Basically, each country has a scaling factor, or "index", to equalize the relative burden for each country against the standard, which is the Swiss contribution, in Francs, as originally set out in Principle # 12. This chart had not been updated since 1990, and we all agreed that it was overdo to review the amount and indexes in the hopes that more funds could be forthcoming. We discussed updating the indexes, which were set primarily by a formula, and we discussed adjusting the base Swiss amount to account for inflation.

Paul MacKay informed the group that a small working group, including Treasurers from Germany, Switzerland, and Holland, had formed recently to look at the issues in detail. Paul hoped that the group of National Treasurers would be a next level of support to address the issues. Creating a direct link to the circle of General Secretaries was also mentioned, to bring alignment between needs and economics/finances. Some countries had both their General Secretary and Treasurer in attendance, while some Treasurers were absent, with the General Secretary filling in for them.

Paul also discussed re-formatting the budget to better reflect the kinds of money at work, to bring more consciousness to the issues. (For more information, see Hans Hasler’s report.) This is something I have also been working towards for our Canadian Society.

Cornelius Pietzner was helpful in bringing clarity and understanding of the details contained in the financial documents. Cornelius said that he will be available as a consultant to Paul in his new role as Treasurer. Cornelius received a very warm good bye and was not present during the Sunday portion of the meeting. I had the opportunity to sit beside Cornelius at lunch and had an extended conversation to deepen my understanding of his new initiatives and the issues addressed at the AGM and Treasurer's meeting.

Each person at the meeting spoke to give a brief country report. The representatives from countries with new Treasurers like me also introduced themselves and their respective societies. As a representative from our Canadian Society, I felt it very important to attend this meeting and take part. I would be happy to elaborate to any Member who is interested in hearing more.

Douglas Wylie

Treasurer, Anthroposophical Society in Canada
416-505-4134, e-mail